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Miroir, miroir...
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Miroir, miroir...
20 avril 2007

Vote?

Voilà presque 1 mois que ces pixels inutiles restent à l'abandon.
Dégoût habituel et routine opprressante. Qu'importe, là n'est pas la question aujourd'hui.

Je viens de lire tous les programmes présidentiels, et mon avis n'est que renforcé.
Je m'explique.
Je ne vois que promesses. Ou bien les seuls qui seraient sucseptibles d'agir réellement sans achever Marianne sont un peu trop répressifs à mon goût.
Attention... top départ!
D'un côté, nous avons ceux qui -je n'en doute pas..- rétabliront un partie de l'économie du moins, veilleront à ce que les "problèmes populaires" soient écrasés. Y'en a même un qui affirme : "retrouver nos libertés et la première d'entre elles: la sécurité (...) " Ou bien j'ai mal compris, ou alors y'a une alarme à tirer! Je ne vois pas la sécurité comme la première liberté, j'aurais plus tendance à me référer au premier article des Doits de l'Homme et ses suivants...

Dans une autre tranchée (car oui, la quête du pouvoir est une guerre... sera-t-elle sanglante?), on peut apercevoir de belles paroles, et que même "tout ira mieux dans le meilleur des pays". Bon, ça parle d'augmenter le niveau de vie, de favoriser l'éducation, la santé, bref, de pallier à toutes les crises du pays. Ok. Cependant, seulement 2 ou 3 candidats informent l'électeur sur la provenance de ces financements. Et encore, ce sont des allusions. Utopistes, menteurs ou suicidaire?

On peut aussi distinguer les bonnes volontés, des projets axés écologie et autres. Ok, mais pour éviter de se faire bouffer par les autres puissances, on fait comment? Puis restons lucides: les petits partis seront toujours incapables de faire faces aux géants ancrés dans les médias et les mentalités majoritaires. Leurs réforment défavoriseront des secteurs clés pour la santé future de la France.

Je ne suis pas libérales mais j'ai conscience (un peu -_-) que nos belles valeurs françaises ne changeront rien quant à la mondialisation. Cela reste la même rengaine: bouffer ou se faire bouffer.
Voilà ce qui me turlupine: d'une part, il y  ceux qui préconisent la sécurité de la france au détriment de l'aide sociale et de la liberté dont a besoin selon moi la population.
Face à eux, l'exact opposé ou presque: une volonté d'aider les Français et de résoudre en priorité les crises intérieures tout en minimisant les décisions internationnales.
Où peut-on aller?

C'est sûrement fataliste et certains penseront sans espoir, "que tout est possible".
Dans l'état actuel des choses, cela va être difficile.
Réussite ou Liberté?

Je me pose maintenant un question, qui je pense ne sera résolue que dans quelques années avec le recul: peut-il y avoir une alternative, prenant en compte chaque terme de l'équation?

Mais je fais sûrement fausse route, il faut lire, avaler et croire l'Idole.
Mais tout est question de valeurs, d'éducation, de qualité de vie, d'ambiance, de tempérament. Ce qui fait notre richesse et notre faiblesse.
Le Bien et le Mal sont une question de point de vue, cela s'applique au reste.

L'Humain est le plus curieux animal, et le Français le plus buté.

Alors installons nous confortablement, le spectacle va bientôt commencer.
Quoi qu'il arrive, il y aura un problème.
Quel(le) que soit notre nouveau(lle) chef du gouvernement, ça va faire du bruit, et les conséquences vont être proportionnelles au "choix" des Français.

J'ai la chance d'être protégée, de pouvoir suivre de loin et de retarder l'entrée dans la cage aux fauves.

Mais combien sont-ils à ne pas être nés sous la bonne étoile?

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